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Donner

Denier de l'Eglise

L’Eglise ne reçoit aucune aide publique pour assurer la rémunération des prêtres et du personnel qu’elle emploie, ou pour organiser baptêmes, mariage, funérailles, catéchèse. visite des malades et des prisonniers, soutien aux personnes en difficultés : les tâches sont multiples. Tout au long de leur vie, l’Eglise accueille, écoute et accompagne humainement et spirituellement les hommes et les femmes qui le lui demandent, particulièrement dans les temps forts, heureux ou malheureux, où ils ont besoin de trouver du sens à ce qu’ils vivent.

Le diocèse de Versailles ne dépend  donc matériellement que de la générosité de ses fidèles. II doit assurer seul sa subsistance matérielle. Ainsi, c’est grâce au don de chaque baptisé que la vie matérielle de l’Eglise est assurée. Chaque don permet d’assurer un avenir à l’activité de l’Eglise et à sa mission prophétique dans le monde, parlez-en autour de vous (parents, grands-parents, amis, jeunes familles, jeunes adultes).

Des formulaires sont disponibles dans les églises, au presbytère  (chèque à l’ordre de l’Asso­cia­tion Diocé­saine de Versailles) ou  vous pouvez choisir le prélèvement automatique ou le don en ligne en cliquant sur ce lien →

Sens et modernisation de la quête

(Extrait de Catholique78.fr)

La quête, on la prépare, parfois on l’oublie, ou plus high tech, on donne par smartphone ou CB. Mais quel est son sens ? Juste une contribution financière ou vrai geste liturgique ?

Très tôt, dans l’histoire de la chrétienté, les fidèles ont été appelés au partage et à la générosité. Ainsi lorsqu’on annonce une famine à Jérusalem, les chrétiens d’Antioch décident-ils de venir en aide aux frères de Jérusalem et de Judée et font-ils en sorte que les dons soient prêts lors du passage des quêteurs.

« Dieu aime celui qui donne avec joie », le don de Dieu se prolonge ainsi dans le don que l’homme est capable de faire.

Le sens de la quête

Jean-Marie Valentin, diocésain et président des Entrepreneurs et dirigeants chrétiens (EDC) de Paris, nous a livré, à travers une chronique pour RCF, une explication profonde du sens de la quête.

Ce geste liturgique a perdu, selon lui, son sens spirituel initial. Si le produit de la quête diminue d’année en année, ce n’est pas une question économique, ni une question d’incompréhension de l’usage que l’on fait de ces fonds. Mais plutôt une perte de sens de cet acte liturgique. Si on en fait une question d’argent, on passe à côté du sujet. Si on en fait une question de sens, l’argent ne sera plus une question. (…)

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