Lire pendant l’Avent

Pour nourrir notre réflexion pendant l’Avent, le père Matthieu nous propose 4 livres qui seront vendus aux sorties de messe :

Vous disposez de deux heures pour découvrir le Nouveau Testament ? ce petit guide vous fournira les repères historiques, géographiques et théologiques pour en apprécier toute la saveur. Au fil des pages, vous trouverez des réponses aux questions primordiales :
Que sait-on de l’existence de Jésus et des étapes de sa vie ?
Comment est-on passé de Jésus à l’écriture du Nouveau Testament ?
Quel rôle l’Ancien Testament joue-t-il pour le Nouveau ?
Clair et pédagogique, ce livre est complété par des encadrés thématiques, des cartes géographiques et un lexique de soixante entrées.

 

LE 1ER LIVRE DU PAPE FRANÇOIS SUR SA VISION DE LA POLITIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ

Pendant un an, le pape François a accordé douze entretiens à l’intellectuel français Dominique Wolton. Fruit de ces rencontres humaines et chaleureuses, ce dialogue exceptionnel et inédit aborde en toute liberté les grands sujets de notre temps et de l’existence humaine : la paix et la guerre, la politique et les religions, la mondialisation et la diversité culturelle, les fondamentalismes et la laïcité, l’Europe et les migrants, l’écologie, les inégalités dans le monde, l’oecuménisme et le dialogue inter religieux, l’individu, la famille, l’altérité, le temps, la confiance et la joie.
Sans conformisme ni langue de bois, ce livre illustre la vision du pape pour l’Église et la société : abattre les murs et construire des ponts.

Tout le monde connaît la réflexion du vieux paysan d’Ars. On lui demandait ce qu’il faisait là dans l’église et il répondit simplement : «Je L’avise et Il m’avise.» En quelques mots, une admirable définition de la prière jaillissait. En vérité, «Ars n’était plus Ars» !Voici les Pensées de J.-M. Vianney, le curé d’Ars. Celui que les doctes professeurs de séminaire jugeaient d’une bien faible doctrine théologique. Voici donc les «pensées» d’un homme qui hormis M. Balley n’eut d’autre maître que l’Esprit de Dieu. Voici la merveille de la grâce et de l’intelligence spirituelle.Quand on découvre ces «sentences», on se surprend à évoquer les Apophtegmes des Pères du désert. Eux aussi n’étaient point des doctes mais des hommes ivres de Dieu. De ces hommes qui, comme J.-M. Vianney, laissaient jaillir de leur coeur de chair les mots qui plaisent à Dieu et font se convertir les coeurs de pierre. Voici la sagesse d’un pauvre esprit, voici la sagesse d’un simple. Voici le coeur de J.-M. Vianney, curé d’Ars.

« Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d’autres provinces, ils filaient vers d’autres corps. »

Réparer les vivants est le roman d’une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d’accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cœur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l’amour.