Que dit l’Eglise ?

Tout en encourageant les progrès des sciences biomédicales qui ouvrent de nouvelles perspectives thérapeutiques, l’Église nous invite à un discernement. Notre responsabilité se trouve ainsi engagée si nous voulons que ces progrès demeurent au service de la personne humaine dans le respect de sa dignité inaliénable, et tout particulièrement des plus vulnérables : l’enfant à naître, les parents touchés par l’infertilité, la personne malade ou porteuse d’un handicap… C’est donc à un enjeu d’humanité que nous sommes confrontés.

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